Et le mouton devint éternel

Un de ces beaux jours de printemps tshiko se leva aux premières lueures de soleil. Il aimait à admirer la rosée sur les fleurs prenant le ton de la vie retrouvée. C’est apaisé devant la vue qu’il avait qu’il alla se promener. Oui oui tshiko a la chance de se retrouver tous les soirs dans un recoin secret aux charmes fous et variés. C'est-à-dire une rivière n’ayant pas de lit, flottant à même le sol, de couleur émeraude, sentant l’amour et la bienveillance, entourée d’une multitude de fleurs dont la couleur faisait pâlir les plus belles dames de notre monde.
Au cours de son épique promenade, sou poudrée de cueillette et de chants, il vint à remarquer au bord d’un buisson les petits pleurs d’un mouton.
Quel être fort mignonne chose se présentait là se disait-il…
« Dis moi que t’arrive-t-il ? » lui demandais-je
« Je ne sais…jeune mage » lui répondit-il pleurant.
« Je suis seul depuis bien longtemps et voilà que trouvant un endroit me correspondant je me fis chasser par un loup fort méchant »
Devant cette frimousse qui me plaisait tant je décidai de lui offrir l’hospitalité ne serait-ce qu’un temps.
Les jours se suivirent et j’adoptai ce petit mouton. Il venait souvent dormir avec moi et me réveillai le matin d’un coup de langue. Une petite caresse en fait qui faisait de mes débuts de journée un enchantement.
Mais ce petit bonheur fut de courte durée. Il devint malade et c’est éffondré que je vis qu’il allait mourir. Je ne pouvant me passer de lui. Cette petite douceur du matin, la délicatesse de sa laine en hiver sous le froid, cette tête irrésistible avec ses yeux d’amande. Je devais par tous les moyens le garder près de moi !!
Allant voir tous les médecins de la région je me rendis compte que ce qu’il avait ne se guérissait pas même avec la plus grande des magies. Il devait mourir, c’est tout. C’est alors que je repensai à ce démoniste, sioned. Je me mis à sa rencontre. Encore en relation avec l’au-delà (cf tshi decouvrit la vérité) il me mit dans le secret. Il était possible de le laisser « vivre » auprès de moi. Écoutant son histoire je mis les choses en place.
Je cherchai ce dragon, oui encore un. C’est pour ça qu’il ne m’aime pas. Je tue sans pitié ces êtres sans cœurs. Dans une grotte je le trouvai. Je transportais ce mouton dans mes bras. Ce monstre voulait nous détruire mais je maîtrisais ces bêtes là. D’un doigt pointant vers sa gueule je dis « Silence » et il se tue…Ne pouvant lancer de sorts il alla au corps à corps. Déposant mon mouton je me levai. Le regardant, je souris. Dans un jet de flamme venant du sol il périt. Je pris son sang et commençai le rituel. Son essence mélangée à la mienne me permettait dans certaines conditions de recevoir un hôte à vie. Ce mouton était la douceur choisie. Puis aux bouts de quelques heures je rentrai chez moi.
Épuisé je m’endormis. Le lendemain c’est avec difficulté et grande peine que je découvris la mort de mon ami. Je finis ce que j’avais commencé et en une dernière phrase je fis disparaître son enveloppe corporelle et gardai son âme. Tout excité je voulais tester si mon mouton était bien du côté de ma fée.
Un jeune mage vint à rentrer. Je l’accueillis, c’était un habitué. Je lui dis que je voulais lui prouver mon amitié. Il me répondit que ce n’était pas nécessaire mais au vu de mon insistance qui le troubla il accepta. En une puissante magie je le transformai en Fifi, le mouton de Tshi. Je pouvais enfin revoir cette frimousse l’espace de quelques secondes. Le mage revint à lui. Je lui expliquai l’histoire et il me dit : « Je n’ai rien à faire aujourd’hui, moutonne moi toute la journée si tu en as l’envie ». Ceci ne tomba pas dans l’oreille d’un sourd et c’est ce que je fis.
Alors si un mage nommé Tshiko vous propose de vous transformer en fifi, dites lui oui ^^.

Tu voulais ton poème le voilà tout trouvé.

Elorah

Apparue de nulle part au coin d'une rue,
Mon coeur t'appela sans même que je m'en sois aperçu.
D'un bon il était sortit surpris par tant de beauté,
Curieux de le voir si agité j'ouvris les yeux sublimé.

Je cru perdre la raison face à cette "vision".
Rêvais-je, étais ce devant moi une apparition?
Je ne savais quoi penser mais je fis le premier pas.
En de doux mots je t'intterpela.

Heureux je te vis s'approcher.
Je te souris timide et gêné.
Mon coeur commençait à s'emballer,
Je sortis alors ses mots avec difficulté:

"Reste là au coin de ce rêve,
pour qu'il dure jusqu'à l'éternel.
Sois ici le matin de mes reveils,
pour qu'en cette vie apparaisse une trêve."

C'est en une mélancolique réponse que je compris.
Tu avais tellement de charmes qu'il t'avait pris.
Cela ne m'enmpêche en quelques mots,
De te donner un soupçon de rêve tel un sot.

On ne peut m'obliger à me taire,
Encore moins de penser.
Ce poème a juste pour but intime et cher,
D'enfin te révéler à quel point tu me plais.

p.s: ceci ne sont que des mots donc ici amplie de rêveries, et de réalités; à ne surtout pas prendre au premier degré.