Chronique d'une Sombre Chevalier

Forêt d'Orneval, la nuit règne en maîtresse sur celle-ci.
Parcourant les sentier oublié une patrouille des Sentinelles fait sa ronde habituelle, les deux elfe Aenarielle Moontear et Isolde Moontear soeur née sous les grand temps de paix sortirent des rangs des autres Sentinelles par leur fait courageux qu'elles firent ses dernière années repoussant emsemble l'ennemi plus d'une fois.
Mais cette nuit n'étais pas comme les autres Isolde le sentait bien; La forêt était trop sombre, trop froide, mais malgré cela elle ne disait rien ne voulant affoler sa jeune soeur.
Son expérience de combattante étant surpassé par son appréhension, cela faissait maintenant plusieurs heures qu'elle avec son arc a la main prête à defendre sa soeur de sa vie.
Puis elle le sentit, une présence noire et ténébreuse qui approchait aussi vite que le vent se refroidisait, elle stoppa net sa marche mais Aenarielle continua de quelques pas puis se retourna vers sa soeur.


- Qui a t'il ma soeur, cela fait plusieur heure que tu es tendue comme jamais je ne t'ai vue auparavant, qu'est ce qui peut te contrarier comme cela ?

Isolde s'en voulu d'avoir si grossièrement caché son inquiétude a sa propre soeur elle n'avait pus que l'affoller ...


- Je ... Excuse moi Aenarielle ... Je ne sai pas ce que j'ai ...

Elle releva la tête en souriant mais ce sourire fut rapidement remplacé par une mine surprise, Aenarielle se retourna empoignant son arme pour faire fasse.
Isolde encocha rapidement une flèche et tira ce qui arrivait le detourna de son arme san aucune difficulté continuant d'avancer vers les Elfes.
Dans un long cri Aenarielle fonça vers l'intrus hurlant toute sa rage envers les intrus qui osait pénétrer dans leur forêt.
Isolde lui cria de ne pas faire cela mais il était trop tard sa soeur c'était brusquement tue et stoppée a moitié pliée, l'inconnu qui les attaquait repousse Aenarielle qui était empalée sur son épée et son rire retentit dans le silence.
Les yeux plein de larmes Isolde jeta son arc et dégaina ses épées et fonça vers l'humain, celui ci para chacune de ses attaques puis une force invissible repoussa la soeur enragée, sa tête heurta un arbre, son corps tomba dans la rivière en contrebat et l'eau se colorat instantanément de rouge.
L'humain se retourna sur Aenarielle, elle tentait de se relever malgré la blessuré qui lui déchirait le ventre le chevalier souleva la tête de l'elfe qui cracha du sang il la regarda droit dans les yeux.


-Finallement je ne rentrerait pas bredouille on dirait !

Aenarielle trop faible pour dire quoi que se soit ou même se lever le regarda droit dans les yeux avant que sa tête ne rebascule vers l'avant totalement sans vie ...


Le lendemain Isolde ouvrit les yeux elle était a moitié dans l'eau son crâne lui faissait horriblement mal et chacun de ses muscle lui procurait une douleur atroce.
Elle dirigea ses yeux vers le ciel et elle conclua rapidement qu'il était midi passé.
Poussant un long soupir elle suplia la déesse que sa soeur s'en soit sortie, puis un tintement de maille atteignit ses oreilles, son coeur s'emballa a l'idée que cela puissent être sa soeur.


- Isolde ? c'est toi ? Ou est donc ta soeur ? nous vous cherchons depuis ce matin ! que c'est il passé ?!

des larmes recommencèrent a couler ce n'était pas la voix de sa soeur ... Il s'agisait d'Hani une autres Sentinelle avec qui elle avait déjà patrouillé par le passé.
Doucement elle releva Isolde et la soutint.


- Votre arc est la haut ainsi que vos épées.

Les images lui revinrent en tête le chevalier, sa soeur empalée sur son épées cette force inconue qui la projetta et puis plus rien; les larmes recommencèrent à couler alors que le reste de la patrouille ramassait les armes de leur soeur de combat bléssée ...

Doucement elle ouvrit les yeux.

"Ou suis-je ? qui suis-je ?" sa tête tournait, son acuité sonore semblait atteinte tout lui semblait mou, baveux et cotonneux.

Sans réfléchir plus elle tentât de se relever mes ses muscle étaient faible et ses bras ne la soulevèrent que par miracle.
Alors qu'elle soufflait a quatre pattes un voix tintât a ses oreilles, non pas une voix, DES voix un tumulte de voix tout devenait soudainement clair autour d'elle, des cadavres, des morts tous les yeux pointé vers le ciel sans aucun sentiments juste un pale reflet du plafond.


-Que faisons nous d'elle maître ? Il semble que ses force ne sois pas rétablie totalement, doit on la supprimer comme les autres ?

-Non pas celle la, je m'en charge un traitement spécial l'attends

Difficilement elle se mis sur ses jambes et elle se retourna pour faire face a celui qui lui resservait un traitement spécial comme il disais.
Elle toisa cet homme de haut en bas puis laissa apparaitre un sourire et tentât un rire sans le quitter du regard.
L'homme laissa apparaitre un sourire lui aussi.


-Je suis satisfait de voir que notre chère Aenarielle est toujours aussi forte malgré ses faiblesses passagère, Content de voir que nos "médecins" on réussi l'impossible de vous faire renaitre parmi les vôtres !

L'elfe le dévisagea sans comprendre le sens de ce qu'elle venait d'entendre.


-Me faire renaitre ? Qu'est ce que c'est que cette histoire ?
-Vous ne remarquez donc pas ?
-Remarquer quoi ? que j'ai l'air d'une loque ? ça c'est fait depuis longtemps.
- non je ne parle pas d'ineptie pareille inspectez vous plus profondément, vous ne respirez pas, tout votre corps est froid. VOUS ÊTES MORTE MON AMIE

"VOUS ÊTES MORTE" les mots résonnérent dans la tête d'Aenarielle comme un écho dans la montagne et ce fut avec effroi qu'elle remarqua qu'en effet sa poitrine ne se soulevait plus au rythme d'une quelconque respiration et que la moindre parcelle de sa peau était glaciale, elle releva la tête regardant l'homme devant elle avec toute la haine possible.


-Que m'avez vous fait ?!
-Ce que nous avons fait ? Nous avons juste relevé notre meilleure combattante et lui avons conféré l'immense honneur de l'immortalité de la non-vie conformément a ce qu'avait dicté notre roi.
-Notre roi ?
L'elfe se tint la tête en essyant de se souvenir.

-Je n'ai plus mémoire de rien, comment être sure que vous n'essayez pas de me tromper ?
-Peut être en comprennant qu'il ne nous serrait pas utile de déployer autant de moyen pour relever quelqu'un qui nous est indifférent vous ne pensez pas ?
Aenarielle resta silencieuce a cette phrase
-Allons revenez vers nous ma soeur souvenez vous de nous.

Doucement des images floue revinrent a la mémoire de la jeune guérière elle y vit une silhouette et 2 mots sonnèrent dans ses oreilles: "Ma Soeur".
Elle releva la tête vers l'homme et se jeta dans ses bras en souriant et ne pus voir ainsi le machiavélique sourire de celui-ci...

Une tête roula sur le sol puis le bruit d'un corps inerte heurtant le sol résonna le croisé Écarlate n'avais même pas eut le temps de prononcer le moindre mots avant que sa tête ne quitte son support si cher.

un sourire machiavélique barrait le visage d'Aenarielle qui restait devant la porte de la forteresse un pied posé sur le torse du corps décapité par elle quelques seconde plus tôt, bientôt une petite troupe s'approchait de l'elfe en rigolant a ce moment elle ricana fortement et s'adressa a eux.


-Vous ne pensez quand même pas pouvoir me battre j'espère

Les humains rigolèrent a cette phrase et se mirent en position offensive.

-Vous êtes pathétique ... Mais drôle, cependant je n'ai pas le temps de rigoler.
Guerrier oublié ! Simple paysans ! Hommes, Femmes, Enfants ! Écoutez mon appel, revenez d'entre les mort et Servez avec moi le FLÉAU !

la terre tout autour de l'elfe s'effrita rapidement et des dizaine de goule émergèrent et s'élancèrent sur les humains resté bouche bée.


La chevalier de la mort fonça soudainement au milieu de la mêlée taillant chair et os, les membres tombaient et le rire dément d'Aenarielle retentit au milieu de cette bataille alors que les renforts affluaient inutilement en effet des horde entière de mort vivant franchissaient maintenant les portes de la forteresse.

Brusquement Aenarielle cessa de se battre et son regard se dirigea vers la cathédrale.


-Oui mon roi c'est compris, tuer l'archevêque ainsi que le haut-commandant.

taillant tout ce qui se mettait sur son passage la chevalier de la mort s'avança vers la cathédrale et y pénétra dans un silence absolu.


-Pourriture du fléau comment ose tu souiller ce saint édifice de ta présence ?!
-Par la même audace qui sera votre perte pitoyable mortel !

L'elfe empoigna sont épée et fonça sur le haut-commandant, le combat fut épique chacun des protagoniste parant esquivant les attaques de son adversaire mais le croisé reculait alors que les duelliste passait a coté de lui l'archevêque osa entamer une incantation le redoutable regard d'Aenarielle se posa dans le siens alors que sa mains commençait a étreindre son cou et a soulever l'humain du sol, essayant vainement de desserrer l'étreinte mortelle des doigts le prêtre commença a suffoquer et l'elfe le jeta en arrière en ricanant. a ce moment le haut-commandant resté figé devant la scène pris sa chance et sauta sur son opposant les 2 roulèrent sur le sol dans une étreinte plus qu'étrange alors que le croisé semblait prendre le dessus l'elfe se mit soudainement a sourire en le regardant fixement alors qu'il tentait de l'étrangler.


-Idiot JE SUIS MORTE !

les mains d'Aenarielle attrapèrent la tête du croisé et elle lui brisa le cou d'un geste rapide.
Repoussant le cadavre du pathétique chef des croisé elle se releva et ramassa son épée et s'approcha du prêtre qui priait les yeux fermé.
L'elfe sourit de nouveau et releva l'archevêque, longuement elle le fixa droit dans les yeux.


-Je t'offre une échappatoire mortel renie ta lumière et embrasse la cause du fléau. Renie ta croyance et le camps perdant et rejoints la cause du roi liche et le camps gagnant.

a ce moment un froid intense pénétra la cathédrale et Aenarielle sut que sont maitre entrait dans cet édifice a la gloire d'une futilité forçant le prêtre a se mettre a genou elle plaça ensuite sa lame sous la gorge de celui ci.


-J'ACCEPTE. S'écria l'humain des larme sur le visage. Je vous en supplie ne me tuez pas !

L'elfe rigola.


-Imbécile pour nous rejoindre tu te dois de mourir.

et sans attendre de réponse elle trancha la gorge de l'humain et maintint sa tête en arrière maintenant la blessure mortelle grande ouverte.
Baissant le regard elle s'agenouilla devant son roi laissant tomber le corps vidé de sang du prêtre.


-TRÈS BON TRAVAIL CHEVALIER DE LA MORT... La voix du roi liche résonna dans l'énorme édifice de pierre...

ca fait plaisir de relire des histoire ecrite par l'un de nous



hésite pas à en faire plus